Je sais, y'en a qui diront que c'est de la désinformation


Il est parfois intéressant de se souvenir.
Notre président ne veux plus que nous nous souvenions. C'est qu'il parait qu'il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d"avis.

Cependant, en regardant en arrière, on se rend compte qu'une phrase peut donner lieu à plusieurs interprétations. On peut avec les meilleures intentions, dire ou proposer quelque chose et finir, par erreur, par proner son contraire.
Nicolas ne veut pas que la France fasse son auto-critique.
On peut peut-être ne pas faire les mêmes erreurs que l'Allemagne, quand même.

Bonne lecture :
Antigone.net
Le travail c'est la liberté

Entre deux tours